1 août 2010
Sur la pas de la porte d'aout....
Je ne sais pas pourquoi, je n'ai jamais aimé l'été.Et cet été là, moins terrible que le précédent, s'enfonce dans la lourdeur des cigales et l'immobilisation double et forcée(santé, travail, on dirait un vieux slogan politique).Bref le bilan de juillet...